Les fourmis - Tome 1
Par bookaddict | Le 21/01/2018 | Commentaires (0) | Chroniques
Titre : Les fourmis - Tome 1
Auteur : Bernard Werber
Editeur : Le livre de poche
Genre : Science-fiction
Date de parution : Avril 1993
Nombre de pages : 306
Prix : 7,30€
Résumé :
"Pendant les quelques secondes nécessaires pour lire cette seule phrase vont naître sur terre quarante humains mais surtout sept cents millions de fourmis. Depuis plus de cent millions d'années avant nous, elles sont là, réparties en légions, en cités, en empires sur toute la surface du globe. Iles ont créé une civilisation parallèle, bâti de véritables royaumes, inventé les armes les plus sophistiquées, conçu tout un art de la guerre et de la cité que nous sommes loin d'égaler, maîtrisé une technologie stupéfiante. Elles ont leur propre Attila, Christophe Colomb, Jules César, Machiavel ou Léonard de Vinci. Le jour des fourmis approche. Le roman pas comme les autres nous dit pourquoi et nous plonge de manière saisissante dans un univers de crimes, de monstruosités, de guerres tel que nous n'en avons jamais connu. Au-delà de toute imagination. Il nous fait entrer dans le monde des infra¬terrestres. Attention où vous mettrez les pieds. Après avoir lu ce roman fascinant, vous risquez de ne plus regarder la réalité de la même manière."
Ma note :
0/5 - Abandon
Mon avis :
Depuis le temps qu’on m’en parlait, il fallait bien que je me lance dans la trilogie Les Fourmis de Bernard Werber. D’autant plus que j’avais beaucoup aimé Troisième humanité du même auteur. Et bien malheureusement pour moi, j’ai été très déçue au point que j’ai abandonné ma lecture à la page 107 sur 306 au total.
Dans ce roman, Bernard Werber nous donne deux points de vue, celui des fourmis et celui des Hommes. Chez les fourmis, cela commence avec le 327ème mâle qui découvre que la fourmilière est en danger. Des fourmis à l’odeur de roche ont tenté de l’assassiner, il va donc chercher de l’aide auprès des siens pour enquêter sur ces fameuses fourmis tueuses.
Du côté des Humains, nous découvrons Jonathan, le neveu du scientifique Edmond Wells spécialisé dans l’étude des fourmis. Ce dernier lui lègue son appartement mais lui interdit d’aller à la cave. Cette dernière volonté est mystérieuse et Jonathan décide tout de même d’y descendre.
Ces deux histoires sont en effet très intrigantes mais l’auteur a choisi de les raconter morceaux par morceaux et en alternant les deux points de vue. Cela m’a donné une impression de lenteur, car à force d’alterner aussi souvent les points de vue, l’histoire n’avance pas beaucoup et je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages.
Je reconnais que le monde des fourmis est intéressant, on apprend des choses, mais l’intrigue ne m’a pas tenu suffisamment en haleine, je me suis donc beaucoup ennuyée. J’ai préféré la partie sur Jonathan et sa famille mais là encore, j’ai trouvé que ça n’allait pas assez vite dans l’intrigue alors que j’étais au tiers du bouquin… De plus, je n’ai pas trouvé crédible que Jonathan soit à la cave pendant des heures et que sa femme, très inquiète de ne pas avoir de nouvelles, ne daigne même pas faire quelque chose ! Il se serait cassé la nuque en descendant, elle aurait attendu longtemps bêtement.
Dès le début de ma lecture, j’ai senti que je mettais du temps à rentrer dans l’histoire. J’ai fini par me forcer pour avancer dans ce roman, puis passé les 100 pages, mon sentiment n’ayant pas changé, j’ai préféré arrêter. Je ne m’attendais pas du tout à abandonner ma lecture vu les très bon avis que j’avais lu. Donc pour moi, Les Fourmis a été un flop mais cela ne m’empêchera pas de lire d’autres romans de l’auteur et lire la suite de la trilogie Troisième humanité.
Ajouter un commentaire